J’ai lu tous les articles de la Déclaration universelle des droits de l’homme et j’y ai trouvé un vide. Alors, j’y ai ajouté moi-même un nouvel article :

Article 31 : Tout être humain a le droit d’aimer qui il veut.

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Je vis ma propre vie, et peu m’importe la manière dont on me juge : gros, maigre, grand, petit, blanc, vert… !
Tout cela ne concerne que moi. Oubliez donc l’obsession d’“être important” ou non : le journal du samedi n’est déjà plus qu’un déchet le dimanche. Vivez à votre manière, avec vos propres règles, vos croyances et votre foi intime.

Les gens auront toujours besoin de matière pour leurs conversations ; quoi que vous fassiez, ils trouveront de quoi parler. Alors sois simple : mange avec tes mains, assieds-toi à même le sol, marche pieds nus sous la pluie, sois joyeux et savoure la vie.

Qu’attendez-vous vraiment des gens ?
Ils parlent même derrière le dos de leur propre Dieu.

Ehsan Tarinia – Luxembourg

LUXEMBOURG

+352 691 23 49 49

ehsantarinia@hotmail.com

Qui est Ehsan Tarinia ?

Ehsan Tarinia est un homme dont la vie s’est consacrée à la quête de sens et d’identité ; un être qui, dans les clairs-obscurs de l’existence, recherche les mots capables de révéler son véritable moi.
Son histoire débute un jour d’hiver glacial, sur une terre dont les racines plurimillénaires plongent dans l’histoire de l’Iran. Ce jour-là, ses parents lui donnèrent un nom : Ehsan Tarinia, un nom qui, tel un pont entre passé et avenir, l’ancra dans un héritage ancien.

En tant qu’athée, il affirme que nul dieu ne préside au destin des hommes ; c’est l’être humain qui, par sa raison, ses efforts et ses choix, trace sa propre destinée.
Fier de l’histoire et de la culture iraniennes, il est convaincu que cette terre n’est pas seulement son berceau, mais aussi un patrimoine précieux pour l’humanité. De Cyrus le Grand, qui proclama la liberté des peuples, aux poètes et penseurs qui ont exalté la raison et le savoir, l’Iran a toujours occupé une place singulière dans l’histoire universelle. Pour lui, le nationalisme consiste à honorer cet héritage et à œuvrer à un avenir meilleur pour son peuple – loin de tout chauvinisme fondé sur la race, la religion ou l’idéologie.

Plutôt que de se soumettre à une croyance imposée, il construit son identité à partir de ses racines, de son histoire, de ses acquis et de ses convictions. Il se réjouit de parler la langue persane, de connaître la culture et l’histoire de l’Iran, et de lutter pour la liberté, la démocratie et la justice dans cette patrie. Mais cette fierté n’exclut pas la lucidité : il estime indispensable de critiquer le passé, d’écarter les fanatismes religieux ou ethniques et de leur substituer des valeurs humaines et rationnelles.

Dans ses écrits, il conjugue son identité nationale avec son athéisme. Il célèbre l’histoire de l’Iran, tout en rejetant la religion comme composante imposée de l’identité. Pour lui, le nationalisme ne réside pas dans la fidélité à une foi ou à des superstitions, mais dans la sauvegarde des valeurs humaines, culturelles et historiques de l’Iran.

Ehsan trouve la joie de vivre dans la beauté de la nature iranienne : les montagnes, les forêts et les rivières qui, depuis des millénaires, inspirent les habitants de ce pays. Dans les livres d’histoire et de philosophie, il cherche une voie de réconciliation entre un passé glorieux et un avenir éclairé.

Ses lignes rouges sont claires : il rejette avec fermeté le despotisme religieux, la République islamique, le clergé, les fanatiques religieux et ethniques, les groupes, partis et organisations d’inspiration marxiste ou terroriste, les séparatistes, les réformistes et les partisans du régime théocratique, ainsi que les mercenaires exportés sous le masque de faux réfugiés – bref, tout ce qui menace la liberté et l’humanité en Iran. Avec tout dogmatisme, qu’il soit religieux ou politique, il refuse tout compromis. En tant que nationaliste athée, il reste attaché aux valeurs de liberté, de raison et de justice, qu’il considère comme les clés de salut pour ce peuple millénaire.

Mais sa quête de sens et de vérité n’a pas de fin. Il continue à chercher les mots qui puissent définir son identité, des mots capables d’unir à la fois son athéisme et son nationalisme. Peut-être son identité réside-t-elle moins dans des réponses figées que dans cette recherche incessante et ce questionnement infatigable.

Au cœur du labyrinthe des idées et de l’actualité, là où réalité et vérité dialoguent comme deux amis anciens, Ehsan, en tant que directeur et rédacteur en chef du média multilingue SIMOURQ news (www.simourqnews.com), poursuit inlassablement la trace de la vérité. À travers chaque dépêche, chaque article et chaque reportage, il avance sur ce chemin, tel un chercheur insatiable en quête de l’essence même du réel.